sábado, 5 de junho de 2021

Le Brésil donne le feu vert à la construction du chemin de fer transocéanique

Le Brésil donne le feu vert à la construction du chemin de fer transocéanique

  • 22/03/2017 18.25
  • La Paz
Agence DPA
Brasília O presidente da Bolívia, Evo Morales, durante conferência de imprensa no Palácio do Planalto (Antônio Cruz/Agência Brasil)
Evo Morales: chemin de fer transocéanique sera le canal de Panama du 21ème siècle Antônio Cruz / fichier / Agence Brésil
Lors d'une réunion technique le mercredi (22) à La Paz, le Brésil a donné le feu vert au projet de construction du chemin de fer bi-océanique, également connu sous le chemin de fer transocéanique, avec le financement de l'Allemagne et la Suisse, ce qui profitera au commerce cinq pays du sud -americanas: la Bolivie, le Pérou, le Paraguay, l'Uruguay et le Brésil. L'information est l'agence de nouvelles DPA allemande.
« Le Brésil est intéressé et prêt [à prendre part] de cet effort collectif pour atteindre les marchés asiatiques et tirer parti de la ligne de chemin de fer qui atteint Corumbá [du côté brésilien] et Puerto Suárez [en Bolivie] », a déclaré le coordonnateur des affaires économiques pour América do Sul le ministère des Affaires étrangères du Brésil, João Carlos Castro Parkinson.
Il a souligné qu'il est important d'établir des accords « harmonisation douanière » donc il y a un mouvement fluide des trains dans la route du Brésil-Bolivie-Pérou.
rail
Le ministre bolivien des Travaux publics, Milton Claros, a salué l'adhésion du Brésil. « Nous sommes sur la bonne voie, » Bright a dit, lors de la première réunion technique a eu lieu aujourd'hui au ministère bolivien des Affaires étrangères avec la participation des représentants de l'Allemagne, la Suisse, le Brésil, le Pérou, le Paraguay, l'Uruguay et la Bolivie, et la Desenvolimento interaméricaine (BID ) et la Société andine de développement (ADC).
Le sous-ministre allemand des Transports et de l'Infrastructure numérique, Rainer Bomba, a confirmé que près de 30 entreprises allemandes et suisses sont intéressés par le financement et la construction du Corridor Central Railway Bioceanic, le nom officiel d'une ligne de chemin de fer qui aurait 3750 km de long une fois rempli . « Ce projet est énorme. Maintenant, nous définissons les objectifs d'investissement pour sa construction », a déclaré Bomba.
canal de Panama
Rainer Bomba et Milton Claros ont signé un protocole d'entente pour consolider le corridor biocéaniques, un acte qui a assisté au président de la Bolivie, Evo Morales. « Nous sommes convaincus que le train bi-océanique entre le Brésil, la Bolivie et le Pérou sera le 21ème siècle du canal de Panama », a déclaré Morales.
Le chemin de fer qui reliera l'Atlantique au Pacifique commencerait sur la côte du Brésil, traversera la jungle amazonienne et les Andes et la fin de la côte péruvienne, après avoir passé la Bolivie peau.
Le gouvernement bolivien accent dans ce travail parce qu'ils veulent éviter l'utilisation des ports du nord du Chili, un pays avec lequel elle entretient un différend historique par une sortie souveraine à la mer.
La route comprendrait la Santos-Campo Grande étire (au Brésil), Puerto Suárez (Bolivie) et Ilo (Pérou) et son coût est estimé à environ 14 milliards $, selon l'étude technique faite par la Bolivie.
de nouveaux couloirs
Le projet ferroviaire bi-océanique du président Morales a été présenté il y a un an Rainer Bomba sur cette première visite à La Paz, accompagné d'hommes d'affaires allemands.
Morales est engagé à ouvrir de nouveaux couloirs d'exportation pour les produits boliviens, actuellement hors du pays par les ports du nord du Chili. Environ 80% des exportations boliviennes sortir par le port chilien de Arica.
Le train bi-océanique pourrait également profiter à d'autres pays parce que la ville bolivienne de Puerto Quijarro servir de point de liaison entre un futur Paraguay-Parana et le chemin de fer à exporter du Paraguay, l'Uruguay et de l'Argentine par l'océan Pacifique.
La réunion de La Paz ne comptait pas sur la participation du vice-président du Pérou et le ministre des Transports, Martín Vizcarra, qui assiste à la situation d'urgence dans son pays en raison des inondations, représenté par son chef d'état-major, Carlos Estremadoyro.

 

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